Arrivée au magasin d’une Douglas B20 600cc de 1920.
Un bicylindre à plat, soupapes latérales, dans l’axe de la moto, placé curieusement au dessus de la boite de vitesses, laquelle est commandée par une tige qui passe au travers du réservoir, et se termine par une commande manuelle des plus chics, pour la sélection des trois rapports.
Après avoir parcouru des dizaines de kilomètres au guidon de cette Douglas presque centenaire, on peut aujourd’hui vous annoncer une vraie simplicité de conduite, une tenue de route parfaite et une fiabilité redoutable.
Le moteur démarre en deux ou trois coups de kick à froid, et un seul suffit moteur chaud pour la relancer.
Elle vous emmènera où vous voulez, si vous savez prendre le temps des petites ballades sur nos routes de campagne.
Une machine du début du siècle dernier, fiabilisée pour rouler sans se poser trop de questions.
La transmission secondaire par courroie de cuir a été remplacée par une chaîne au fil du temps, tout comme l’embrayage au pied qui se retrouve aujourd’hui au guidon, pour plus de confort sur la route.
Cette Douglas de 1920 offre une superbe patine et des performances étonnantes !
Arrival at the store of a 1920 Douglas B20 600cc.
A flat twin, side valves, in the axis of the bike, oddly placed above the gearbox, which is controlled by a rod that passes through the tank, and ends with a so chic manual control that offers three positions.
After traveling tens of kilometers on this almost century-old Douglas, we can today announce a true simplicity of driving, a perfect handling and a formidable reliability.
The engine starts after two or three kicks when cold, and only one is needed when hot to restart it.
It will take you wherever you want, if you appreciate to take time for leisurely rides on country roads.
A machine from the beginning of last century, made reliable to ride without asking too many questions.
The leather belt final transmission has been replaced by a chain over time, as has the foot clutch now on the handlebars, for more comfort on the way.
This Douglas from 1920 offers a beautiful patina and surprising performances!