Arrivée au magasin d’une MV Agusta 750 S de 1973.
Cadre n° 214 0 457, moteur n° 214 0 479, “matching numbers”.
Une machine méticuleusement restaurée par Mark Kay (MV Meccanica Verghera Ltd).
Avec une MV Agusta 750 S, pas question de conduire débraillé à la dernière mode, il faut s’équiper sérieusement, puissance et noblesse oblige !
Le modèle présenté aujourd’hui chez Legend a été produit en 1973, avec son mythique 4 cylindres, un moteur particulièrement puissant, qui gronde solidement, alimenté par une rampe de 4 superbes Del’Orto (identique aux motos d’Agostini).
Le réservoir d’huile, intégré à l’avant du bloc moteur, contient près de 5L de lubrifiant, et c’est finalement la seule différence évidente entre le moteur sport et le moteur compétition des machines de Grand Prix.
Sa transmission est sans doute ce qui est le plus admirable : boîte, cardan et pont sont extraordinaires, et chaque pièce pensée et réalisée chez le comte Giovanni Agusta forme une véritable œuvre d’art.
Si on ajoute à cela son extrême rareté, pas étonnant qu’on la surnomme “l’inaccessible étoile”…

Arrival at the store of a 1973 MV Agusta 750 S.
Frame #214 0 457, engine #214 0 479, “matching numbers”.
A machine meticulously restored by Mark Kay (MV Meccanica Verghera Ltd).
With a MV Agusta 750 S, you can’t drive scruffed up like a fashion victim, you must equip yourself seriously, power and nobility requires it!
This model presented today at Legend was produced in 1973, with its legendary 4-cylinder, a particularly powerful engine, which roars loudly, powered by a ramp of 4 superb Del’Orto (identical to the bikes of Agostini).
The oil tank, built into the front of the engine block, contains nearly 5L of lubricant, and this is ultimately the only obvious difference between the sports engine and the racing engine of Grand Prix machines.
Its transmission is undoubtedly what is most admirable: the gearbox, cardan and bridge are extraordinary, and each piece conceived and realized by Count Giovanni Agusta forms a true work of art.
If we add to this its extreme rarity, no wonder we call it “the inaccessible star”…